La lumière..
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La lumière..
Joue avec la lumière
Lucioles et vers luisants : comment brillent-ils ?
Principe de la bioluminescence
Cette capacité, que possèdent d’autres organismes, notamment marins, est la bioluminescence. Cette émission de lumière est provoquée par la réaction entre une protéine, la luciférine, et une enzyme, la luciférase.
Lorsque ces deux protéines s’associent, la luciférase catalyse l’oxydation de la luciférine en présence d’oxygène.
Cette oxydation provoque l’excitation électronique de la luciférine. Cet état étant instable, la luciférine repasse à son état stable en émettant un photon. La lumière ainsi émise est qualifiée de lumière froide puisque seuls 5 % de l’énergie est convertie en chaleur. Cette lumière qui appartient aux spectres du bleu et du vert est ensuite réfléchie vers l’extérieur par des cristaux d’urate.
En retournant à son état stable, la luciférine se sépare de la luciférase et un nouveau cycle peut commencer.
Ces deux protéines sont produites par les cellules des Lampyridés ainsi que d’autres espèces. Ailleurs dans le monde animal, cette synthèse est plus souvent le fait de bactéries symbiotiques. C’est le cas notamment chez les méduses et les poissons des abysses.
Lucioles et vers luisants : comment brillent-ils ?
Principe de la bioluminescence
Cette capacité, que possèdent d’autres organismes, notamment marins, est la bioluminescence. Cette émission de lumière est provoquée par la réaction entre une protéine, la luciférine, et une enzyme, la luciférase.
Lorsque ces deux protéines s’associent, la luciférase catalyse l’oxydation de la luciférine en présence d’oxygène.
Cette oxydation provoque l’excitation électronique de la luciférine. Cet état étant instable, la luciférine repasse à son état stable en émettant un photon. La lumière ainsi émise est qualifiée de lumière froide puisque seuls 5 % de l’énergie est convertie en chaleur. Cette lumière qui appartient aux spectres du bleu et du vert est ensuite réfléchie vers l’extérieur par des cristaux d’urate.
En retournant à son état stable, la luciférine se sépare de la luciférase et un nouveau cycle peut commencer.
Ces deux protéines sont produites par les cellules des Lampyridés ainsi que d’autres espèces. Ailleurs dans le monde animal, cette synthèse est plus souvent le fait de bactéries symbiotiques. C’est le cas notamment chez les méduses et les poissons des abysses.
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